C'est clair que l'analogie avec les établissements scolaires est pertinente. Un audit bâclé, c'est un peu comme ces plans de rénovation énergétique pour les bâtiments, où on se contente de changer les fenêtres sans isoler les murs. Ça donne l'illusion de faire quelque chose, mais l'efficacité est proche du néant.
En parlant d'efficacité, je me demande si on a des chiffres sur le ROI (Return on Investment) d'un audit de marque bien mené. J'ai entendu dire que les entreprises qui investissent dans leur branding ont une croissance significativement plus élevée que celles qui négligent cet aspect. Une étude de 2022 montre que les marques avec une identité forte ont une valeur boursière supérieure de 20% en moyenne. Mais est-ce que ça se traduit concrètement en termes de chiffre d'affaires, de parts de marché, etc. ?
Parce que bon, c'est bien beau de dire qu'une marque forte attire les clients, mais si ça ne se mesure pas, ça reste de la théorie. Perso, j'ai bossé sur des projets où l'audit de marque a révélé des incohérences flagrantes entre l'image que l'entreprise voulait projeter et la perception qu'en avaient les clients. Dans un cas précis, 65% des clients interrogés avaient une image de la marque diamétralement opposée à celle voulue par la direction. Après correction, on a constaté une augmentation des ventes de 15% en six mois. Pas mal, non ?
Du coup, je pense que la clé, c'est de définir des indicateurs de performance clairs dès le départ, pour pouvoir mesurer l'impact de l'audit et des actions correctives mises en place. Et surtout, il faut impliquer toutes les parties prenantes dans la démarche, de la direction aux employés, en passant par les clients. Sinon, on risque de passer à côté de l'essentiel.
Et pour finir sur une note un peu plus optimiste, je suis convaincu que même les entreprises les plus réticentes à l'idée d'un audit de marque peuvent être convaincues si on leur présente les arguments de manière claire et chiffrée. Après tout, qui refuserait une augmentation de 15% de son chiffre d'affaires ?
Le coup du QR code, c'est pas mal. Par contre, faut penser à ceux qui sont pas trop "techfriendly", sinon on les perd... Sinon, en parlant d'optimisation d'espace, j'ai maté une vidéo l'autre jour qui présentait un système d'accrochage coulissant pour les magasins. L'idée serait peut-être adaptable pour un magasin de bricolage.
L'engagement, c'est vraiment le nerf de la guerre... et la durée du questionnaire aussi, clairement. Personne n'a envie de passer 30 minutes à répondre à des questions. Tiens, à ce sujet, je suis tombé sur une vidéo sympa qui explique comment structurer un questionnaire pour obtenir un max de réponses pertinentes. Ça peut donner des pistes