Si on parle de solutions concrètes, je pense qu'il est bon de se pencher sur les aides existantes. Il y a des dispositifs publics et des accompagnements spécifiques pour les cédants de PME. Par exemple, les CCI proposent souvent des diagnostics gratuits pour évaluer la valeur de l'entreprise et préparer la transmission. C'est un bon point de départ, et ça permet de structurer sa démarche avant de se lancer dans des audits plus coûteux.
L'approche de Lara Croft est intéressante, coupler street marketing et digital, c'est une évidence aujourd'hui pour avoir un retour mesurable. Mais je pense qu'on peut aller encore plus loin dans la réflexion sur l'engagement client. Est-ce qu'on parle seulement d'acquisition, ou est-ce qu'on cherche à créer une relation durable ? Parce que le street marketing, avec son côté humain et direct, a un potentiel énorme pour créer du lien émotionnel.
Je m'explique : un simple flyer, c'est vite oublié. Mais une animation de rue originale, un événement qui marque les esprits, ça peut créer un souvenir positif associé à la marque. Et ça, ça peut influencer les décisions d'achat à long terme. Le challenge, c'est de trouver l'idée créative qui va interpeller les gens, les faire sourire, les émouvoir, les impliquer... Bref, créer une expérience mémorable.
Après, pour la mesure de l'impact, je suis d'accord qu'il faut des outils de tracking. Mais il ne faut pas se limiter aux ventes directes. Il faut aussi prendre en compte l'augmentation de la notoriété, l'amélioration de l'image de marque, le bouche-à-oreille positif... C'est plus difficile à quantifier, mais c'est tout aussi important.
Et pour répondre à la question de LeDalaïLamaDuBusiness63, oui, je pense que ça marche encore en 2024, mais à condition de ne pas faire du « street marketing » ringard. Faut pas se contenter de distribuer des flyers sans âme. Faut innover, surprendre, proposer quelque chose de pertinent pour le public cible. Et puis, il y a la question du support utilisé. On pense souvent aux flyers, aux affiches, mais il y a plein d'autres possibilités à explorer. J'ai vu des opérations de street marketing super originales avec des projections vidéo sur des bâtiments, des installations artistiques éphémères, des jeux de piste interactifs... Et même si ça parait étonnant, j'ai vu un article une fois sur https://drapeau-street-marketing.fr, qui parlait d'une marque qui avait utilisé des drapeaux comme support de communication dans une opération de street marketing. L'idée était d'accrocher des petits drapeaux aux couleurs de la marque dans des lieux stratégiques de la ville, pour créer une sorte de "guérilla marketing" visuelle. C'était assez surprenant comme technique.
Bref, pour que le street marketing soit efficace, il faut une stratégie bien pensée, une créativité débordante, et des outils de mesure adaptés. Et surtout, il faut se mettre à la place du client et se demander ce qui pourrait l'intéresser et l'émouvoir.
LeDalaïLamaDuBusiness63, ton retour d'expérience est super pertinent. C'est exactement ce que je voulais dire plus tôt : le street marketing ne se limite pas à la conversion immédiate. L'engagement sur les réseaux, c'est déjà une victoire, car ça crée de la visibilité et du capital sympathie. Et comme le disait VentDivin, ce capital sympathie peut se traduire par une fidélisation accrue à long terme.
En fait, je pense qu'il faut voir le street marketing comme un investissement sur le long terme. C'est comme planter une graine : il faut l'arroser, la nourrir, et attendre que ça pousse. On ne peut pas s'attendre à récolter les fruits immédiatement.
Pour rebondir sur ton expérience, je me demande si le problème ne vient pas de l'offre spéciale en elle-même. Peut-être qu'elle n'était pas assez attractive, ou qu'elle ne correspondait pas aux attentes du public cible. Je me souviens d'une étude de Nielsen qui disait que 60% des consommateurs sont plus susceptibles d'acheter un produit ou un service s'ils bénéficient d'une offre personnalisée. Peut-être qu'il faudrait creuser cette piste-là et proposer des offres plus ciblées, en fonction des données démographiques ou des centres d'intérêt des personnes qui scannent le QR code. On utilise de plus en plus l'IA pour segmenter et personaliser les offres.
Et puis, il y a la question du timing. Peut-être que vous avez lancé votre campagne de street marketing à un moment où les gens n'étaient pas disposés à acheter. Une autre étude de Hubspot a montré que le taux de conversion des campagnes marketing varie considérablement en fonction du jour de la semaine et de l'heure de la journée. Faut peut-être faire des tests pour identifier les moments les plus propices pour toucher votre public cible. Pensez aux calendriers événementiels locaux, et adaptez vos offres à l'actualité.
En tout cas, c'est super que vous ayez tenté le coup et que vous partagiez vos résultats avec nous. C'est en testant, en analysant et en s'adaptant qu'on progresse. N'hésitez pas à nous tenir au courant de la suite !
Si on récapitule un peu, on a parlé de l'importance de coupler le street marketing avec le digital, notamment via des QR codes, pour pouvoir mesurer l'impact des actions. On a aussi souligné que l'objectif n'est pas seulement l'acquisition de clients, mais aussi la création d'une relation durable et d'un lien émotionnel avec la marque, en proposant des expériences mémorables. Le capital sympathie généré par ces actions peut avoir un impact positif sur la fidélisation à long terme. Enfin, on a vu qu'il est essentiel de bien cibler l'offre et de choisir le bon moment pour lancer une campagne de street marketing. Donc en gros, stratégie, créativité, et mesure des résultats, c'est le tiercé gagnant ?